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de la valeur, les cris de guerre retentirent au loin ; la forêt de Bendourish gémit ; -les rochers de Douehart répondirent à ce gémissement ; le daim s’enfuit du sauvage Teyndrum, et le meurtrier vaincu s’échappa, couvert de blessures, accablé de honte et de douleur, et faissant dans sa faite ce gage glorieux de la victoire de Lorn.

XIII. FIN DE LA BALLADE.

— Ainsi donc l’épée de Douglas, le bras de Campbell si vanté, le fer que le féroce Iürkpatrick employoit au. facile méfier d’assassin, tout fut inutile. Barendown et lecourageux Delahaie s’enfuirent au loin, quand cette agrafe rayonna sur le manteau de Lorn triomphant.

— Son ancien-maître a abandonn