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— quand la victoire, le désespoir et la mort planent sur la campagne arrosée de sang. _

En approchant du rivage ils- aperçurent, à travers les. brouillards et la tempête, lasombre tour s’élever devant eux, et son ombre se projeter au loin " sur l’Océan qui vient battre son rocher. La lueur vacillante de mille torches qui se réfléchissoient dans la mer, sembloit se jouer sur son sein ; et ces éclairs rapides, qui brilloient sur les vagues, rappeloient les vains plaisirs qui, dans cette vallée de Iarmes, éblouissent un moment et disparaissent aussitôt.

XXIV.

Ils vinrent mouiller sous les murs du château, dans une baie paisible. Un passage taillé dans le roc conduisoit à la forteresse par un escalier si étroit et si élevé, qu’il auroit suffi d’un seul