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— O terre d’Écosse ! pourrai-je enfin venger tes outrages dans un combat ; lever mon front victorieux, et voir la liberté rendue à tes collines et à tes vallons ! ce spectacle de bonheur est tout ce que je demande au ciel avant de mourir.

En prononçant ces paroles, il descendoit lentement le coteau, s’arrêtant souvent d’un air pensif. Il arrive enfin au lieu champêtre où son armée avoit assis son camp.


FIN DU CHANT IV.