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nes mœurs, reproduire intégralement certains articles. Leur ton rappelait celui de La Croix lors de l’attentat contre Me Labori au moment de l’affaire Dreyfus. Et ce ne furent pas seulement des journaux français, ce furent, aussi, des feuilles italiennes, espagnoles, etc.

D’un journal français (et spirite) :

Un scandale. Un journal ; si l’on peut appeler ainsi un torchon, publie actuellement une série de chroniques (?) dont la moindre mérite le châtiment le plus sévère. Un Gouvernement trop bienveillant a supprimé le crime de lèse-religion, il faut le rétablir, il faut permettre à la Justice d’enfermer sur-le-champ le personnage immonde qui élucubre ces saletés. On interdit l’apologie de l’anarchie et on toléré l’apologie du crime. Car, c’est le crime que prêche cet homme épouvantable, mieux que le crime, la corruption de la jeunesse, de tout le pays ! Il sème à plaisir le germe de l’infection, de la pourriture, la mouche charbonneuse dépose ses ordures partout. Où allons-nous ? Si la Justice ne veut pas s’en mêler, nous saurons bien arrêter le scandale ».

Lettres ironiques : « Doux chanoine, je suis belle, je suis grande, je suis riche, j’ai vingt-cinq ans. Eh bien ! fais-toi aimer, homme tout-puissant ! Tu connais tous les secrets pour se faire aimer. C’est le moment d’en user ! Je suis