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tourne, et vient lécher les jambes de la femme. Z. a deux ou trois cent mille francs de rente !

A. veut posséder en même temps la mère et la fille.

B., bien que colossalement riche, force sa femme légitime à se prostituer dans des maisons à cent sous. Lui-même fait le voyeur.

C. s’étend par terre sur le dos, et veut qu’une femme chaussée de souliers à hauts talons lui laboure le visage.

D. donne cent francs pour couper la moitié de la chevelure.

E. revêt de hauts bas de soie montant jusqu’à mi-cuisse.

F. collectionne les chemises de femmes… ensanglantées.

G. n’est heureux que lorsque la femme lui dit : « Ah ! porte-moi dans la rue que tout le monde voie mon bonheur ! »

H. s’excite à piétiner dans un baquet plein de hannetons.

I. commence par se faire donner cin-