Page:Schwaeblé - L’amour à passions, 1913.djvu/20

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 14 —

ne voit que la chair, il n’entend que les vibrations du fouet.

« Et, toujours frappant, il s’anime, s’excite, se passionne, rougit — et tape de plus en plus fort, poussant, de temps en temps, de gros soupirs de fatigue. Maintenant, la croupe de la malheureuse se couvre de sang, et des gouttes glissent lentement le long des flancs, se réunissant un peu plus bas en rigoles sinueuses… »