de méchants rats qui couraient comme s’ils avaient été chez eux…
Madame Brayant (confidentiellement). — J’ai attrapé des cloquettes à tous mes doigts de pied…
Madame Ramelin. — Vous avez des cloquettes !… (Changeant de ton.) Vous trouvez que ça mérite, vous, ce Paris ? Des maisons et toujours des maisons…
Madame Brayant. — Avec ça qu’il n’y a pas des maisons chez nous… Je ne sors plus de l’hôtel, moi, tant qu’il n’y aura à voir que des maisons…
Madame Ramelin. — Des rues qui sont toutes droites, comme notre rue Léopold…
Madame Brayant. — Des cafés qui ne valent pas notre Phare. Des gens qui courent toujours comme s’ils étaient pressés, afin de vous bousculer plus à leurs aises…
Madame Ramelin. — Un carnaval comme tous les carnavals… avec des masqués comme tous les masqués.
Madame Brayant. — La perspective de reprendre demain le fameux train de plaisir où l’on est dans un compartiment complet avec des Spielweg et de