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de jeu, passant sa vie, en hiver soit à Monte-Carlo, soit à Venise, passant l’été à Ostende ou Trouville et s’arrêtant entre deux voyages à Paris. Ne pouvant traîner à sa suite, en ses continuels déplacements, sa Pauline, elle l’avait laissée à Liège en pension, et le bon papa Dumortier s’était chargé de s’occuper d’elle. Il l’aimait tant parce qu’elle était douce et bonne !

Et Pauline aimait de tout son cœur le vieux bourgeois.