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reconnaissance et l’approche de sa fin amenèrent le repentir : il fit au baron un aveu sincère de tout ce qui s’était passé ; et c’est ainsi que nous avons su, avec la plus exacte vérité, les détails que je viens de donner.
Le désir seul de justifier la mémoire d’un prince à qui j’étais tendrement attaché, m’a engagé à prendre des mesures pour que cet écrit voie une fois le jour ; mais les raisons les plus fortes, et que l’on comprendra peut-être, m’obligent d’attendre, pour cet acte de justice et d’amitié, le moment où lui-même et moi nous n’existerons plus.
Au milieu de tant de pièges, comment aurait-il pu échapper ?… Je m’arrête : on connaît les suites de