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et flammes, et juré mille fois la mort du prince s’il perdait son neveu, parut s’apaiser. Il vint lui-même au couvent, eut plusieurs conférences avec le prince, l’emmena enfin dans son palais, d’où il n’est sorti que pour faire une abjuration publique. Dès cet instant toutes ses dettes payées, une pension considérable de la cour de Rome, le don d’un superbe palais, toutes les jouissances du luxe, tous les honneurs sont sa récompense. Comme nous ne l’avons point revu, nous ignorons s’il est éclairé sur Séraphina ; mais il paraît consolé et réconcilié avec le marquis, qui est guéri de ses blessures.

Biondello languit quelques jours à l’hôtel, soigné par mon ami. Sa