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l’Arménien a pris sur l’esprit du prince, et même sur son cœur, par ses rapports avec Séraphina, ne confirment que trop mes craintes. Je vois, par la réponse de sa sœur, dont je vous envoie une copie, que l’on croit même en Allemagne qu’il a déjà abjuré. Adieu, cher comte ; je vous attends avec impatience.

F***. »

Dans cette lettre était inclus le billet suivant :

« La religion, qui a fait, dans la personne du prince de***, une acquisition si brillante, ne le laissera pas manquer des moyens de continuer le genre de vie qu’il a préféré à son culte, à sa famille,