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ne connaîtra pas celle de Venise.

Nous n’y séjournâmes pas longtemps. Le patron, qui avait plusieurs passagers à ramener à Venise, devait y être de retour de bonne heure, et rien ne retenait le prince à Chiozza. Tout le monde avait déjà pris sa place dans le bâtiment quand nous y entrâmes. Nous demandâmes une chambre pour être moins gênés que nous ne l’avions été le matin. Le prince s’informa qui il y avait encore sur la barque. On lui répondit : un Dominicain et quelques dames qui retournent à Venise. Il n’eut pas la curiosité de les voir, et nous nous arrangeâmes dans la chambre qui nous était destinée.

La Grecque avait été le sujet prin-