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moires sur la suppuration[1] et sur la régénération des chairs[2], faisant des rapports sur des concours et composant à cette occasion des précis sur les diverses espèces de remèdes, répercussifs[3], résolutifs[4], émollients[5], détersifs[6], dans les maladies chirurgicales[7].

Il ne manquait pas de donner à ses confrères des conseils que l’on retrouve fréquemment sous sa plume : « Il ne suffit pas de pratiquer la médecine ou la chirurgie pour pouvoir discerner avec sûreté l’efficacité des remèdes ; il faut, pour découvrir au juste leurs véritables effets, avoir acquis bien des connaissances que le seul exercice de l’art de guérir, joint au génie même le plus pénétrant, ne peut jamais nous donner ».

En 1743, il justifia plus complètement la confiance de La Peyronie en publiant le pre-

  1. Juillet et septembre 1740.
  2. Octobre 1740 et mai 1741.
  3. Mai 1742.
  4. Juin 1743.
  5. Juin 1744 et juin 1746.
  6. Mai 1747.
  7. Les communications de Quesnay furent presque toutes lues par Hévin, vice-secrétaire.