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sur l’ouvrage de ce docteur, De morbis Veneris,

sur la prééminence prétendue des médecins,

sur leur incapacité à traiter les maladies vénériennes,

et sur le droit de propriété que les chirurgiens ont sur le traitement de ces maladies,

par M., chirurgien de Rouen, à M., chirurgien de Namur et docteur en médecine, 1737, in-4o.

(La première lettre est datée du 26 décembre 1737 ; la dernière du 16 février 1738.)

1739. Réponse à l’écrit intitulé : Cléon à Eudoxie, touchant la prééminence prétendue des médecins sur les chirurgiens, adressée par M. Desroziers, maître chirurgien d’Étampes, à M. Andry de Boisregard, d. m. f. p.

1743. Observations sur l’écrit intitulé : Réflexions sur la déclaration du Roi du 23 avril 1743.

(Une deuxième édition a été augmentée d’une Réplique aux réponses des médecins.)

1744. (?) Recherches critiques et historiques sur l’origine, sur les divers états et sur les progrès de la chirurgie en France, 1744, in-4o et 2 in-12.

1748. Examen impartial des contestations des médecins et des chirurgiens, considérées par rapport à l’intérêt public, par M. de B., in-12, 1748.

1749. (?) Mémoire présenté au roi par son premier chirurgien, où l’on expose la sagesse de l’ancienne législation sur l’état de la chirurgie en France, 1749, in-4o.