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Réponse d’un chirurgien à la lettre insérée dans le Mercure de France du mois d’août dernier, et adressée aux auteurs des Observations sur les écrits des modernes.

(?) Réponse à la lettre de M… (Procope) à un ami de province[1], par M. Desroziers, maître chirurgien d’Étampes et d’Orléans.

1737. (?) Réponse de M. (Desroziers), maître chirurgien d’Orléans, au médecin auteur du Baillon, in-4o.

Réponse d’un chirurgien de Saint-Côme à la première lettre de M. Astruc, sur les maladies vénériennes, avec une addition qui sert de réplique à la deuxième lettre, in-4o, 1er septembre 1737.

Lettres sur les disputes qui se sont élevées entre les médecins et les chirurgiens,

sur le droit qu’a M. Astruc d’entrer dans ces disputes,

sur la préférence qu’il se donne en comparant son ouvrage avec celui de Héry,

sur les médecins qui écrivent, selon M. Astruc, mieux que les chirurgiens,

sur l’inventeur des frictions,

sur le premier qui en a écrit,

sur les médecins étrangers que M. Astruc appelle au secours, pour soutenir la Faculté de Paris,

  1. Insérée dans le Mercure d’août 1736.