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nir par l’amélioration de la culture, par la suppression des abus dans la perception, et par une répartition plus équitable des impositions, à soulager sensiblement le peuple sans diminuer beaucoup les revenus publics », et la satisfaction plus grande encore de voir paraître, le 13 septembre 1774, l’arrêt du Conseil qui rétablissait la liberté du commerce des grains à l’intérieur du royaume.


IV

Quesnay avait eu deux fils et une fille. Celle-ci, Marie-Nicolle, née en 1723, épousa Hévin, en 1740. Elle eut quatre enfants ; sa postérité existe encore aujourd’hui[1]. Comme sa mère, elle mourut en couches en 1761 ; Hévin se remaria peu de temps après[2] et resta néanmoins en bons termes avec son beau-père.

L’aîné des fils de Quesnay, le seul qui ait vécu, Blaise-Guillaume, fut inspecteur général

  1. Dans la famille Aubery du Boulley.
  2. Avec Mlle  de La Chaud, dont il eut une fille.