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LE ROMAN, &c.


attaque du bélier les lui fit ouvrir ; et il n’eut pas plutôt reconnu l’auteur de son malheur, que dans la colère où il éroit, il frappa de la main fermée le bélier par la tête, et se fit grand mal contre ses cornes. Il en enragea beaucoup, et encore plus d’entendre rire toute l’assistance, qu’il querella en général, et sortit de la chambre en furie. Il sortait aussi de l’hôtellerie, mais l’hôte l’arrêta pour compter ; ce qui lui fut peut-être aussi fâcheux que les coups de cornes du bélier.


Fin du tome second.