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D. Blaize.
De bon cœur. Venez donc, ma belle.
En s’adressant à Blanche.
D. Sanche.
Blanche n’est plus à vous, Blanche n’est plus qu’à moi ;
En matiére d’amour nul ne me fait la loi.
D. Blaize, à Blanche.
Et vous y consentez ?
Blanche.
Et je m’estime heureuse, honorée et contente.
D. Blaize.
Et vous, dom Cosme ?
D. Cosme.
Que vous donniez la main à ma fille au plutôt.
D. Blaize.
Je le veux.
D. Cosme.
Comtesse d’Alcalca.
D. Blaize.
Est-ce pour mes péchés que je suis à Madrid ?
D. Cosme.
Mais peut-on contester contre son propre écrit,
Ma fille étant bien faite ?
D. Blaize.
Et c’est pour cela seul que je ne veux point d’elle.
Mon front seroit gâté s’il devenoit cornu,
Et je n’épouse point de visage inconnu.