ggloirc, connue s’il se lùt agi d'aller a la picorée d'une (leur. Les deux armées se sont rencontrées sur les galeries vitrées qui couvrent les serres chaudes. Dans cette fatale jou rnéc, une circonstance fortuite fi t perdreau prince Bour- don, général en chcl‘ de ilotre armée ailée, le lruit dîme des plus granites manoeuvres qui aient jamais été essayées.
[lavait partagé son armée en trois masses : la droite, commandée par lui-même entoure de son brillant état- major où l’on remarquait, parmi les colonels, des Papillons, le vénérable Panna, PAPOLLON, le Paon ne JOUR, le CUPIDÜN, était forte de sept régiments dïnfanterie légère; les SAU- rsueLLes, les Cnleuers, les Peace-Oasumcs, les Psooues, les PnuLus et les Èruéusncs. — Tous pleins d'ardeur.
Et la gauche, commandée par lïlaocèan GÉANT, se com- posait des régiments des CAPRICOBNES; des TnoaLonvrns, des Gumoums, des TÉNÉBBIONS ct des Cutnaucoss.
La droite avait à combattre la gauche des ennemis com- mandée parle chef féroce de la famille des Coléoptères; le SCARABÉE HERCULE, suivi des phalanges redoutables des GOLIATH, des Boucusuas, des HANNETONS, (les Cousins, des BOMBARDIEBS ct des ‘faut-lus. — Que potwaient faire les troupes légères du prince Bouuuou contre cette impéné- trable infanterie? '
Sa gauche étaitopposée aux sections des AuuuisNI-zs mi- ueuses, coupeuses et charpentièrcs, et à la corporation des Bmnoctânos, qui, ifagîant qufune corne, obéissent naturel- lement au CEnr-VoLAaT qui en a ileilx.