Page:Scènes de la vie privée et publique des animaux, tome 2.djvu/63

Cette page n’a pas encore été corrigée

grettous que fauteur de cette poésie fantastique s'obstine

a garder Fanonvme.

un : Femmes, moulu-amour epmum-r.

Un Elépbnl se balançait

Sur une toile df‍ltraigtnëe;

‘Voyant qu'il se divertissnit,

Une blanche en fut indignée .- Cornment poux- tu le réjouir, Dit-elle, en voyant ma souffrance I’ Ah! viens plutôt me secourir,

Ma main sera ta récompense

An moment ou le triomphe nous paraissait le plus cer- tain, la face des choses a changé complètement, et la for- tune s’est déclarée contre nous.

Pouvions-uous prévoir un pareil désastre, après avoir

vu partir notre belle armée équipée avec tant de soin et si bien disposée! Quelques MOUCHES savantes, dont les études avaient été dirigées vers Part de la mécanique, pour lequel on sait que les MOUCHES ont d’étonnantes dispositions, commandaient Partillerie. Les plus robustes traînaient des munitions de guerre dans des petits caissons faits de gousses de pois secs, et d’aulres portaient sur Fépaule de petits mousquets faits avec la eeniième partie d’un fétu de paille, mais qu’elles tenaient d’uu air si ‘martial, que e’é— tait plaisir de voir ces braves petites mouches voler à la