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Ll MARQUIS KRNSST 43

Vous avez si chaud que cela, marquis ? — Oui, je m*en vais pour de bon. Libre à vous de m’imiter, mais tout de suite, ou pas du tout. Est-ce compris ? — Parfaitement ! beaa croisé, à votre aise... vous voulez filer ; avant Vauteur ! routeur ! I ! de peur de me compromettre. Bon voyage. «Elle n’était pas autrement émue ; étrange créature ! Je sautai dans la première voiture, et je rentrai ici maudissant ma sotte complaisance pour les proverbes. Et me voilà sous le coup d’une persécution de la dame, ou d’une visite do l’bomme au chapeau, qui viendra, son couvre-chef avarié d’une main...

SCÈNE IV

Sur les dernières paroles da marqais, HECTOR fait soa eotrée, joste daie l’attitude indiqaée, brossant da ooade sop chapeau, dont il semble yonloir enlerer une tache rebelle.

HECTOR.

Monsieur le marquis pourra témoigner que j’ai lutté.. je lui donne ma parole que ce qui est arrivé, la porte ouverte, cric ! crac ! né serait pas arrivé, si je n’avais eu la tête «ncore toute pleine des émotions d’une première^ une vraie première de Parisiens ...

LE MARQUIS, intéressé malgré loi. Une première... où ? quand cela ?... ’ HECTOR.

Oh ! monsieur me fait poser... pardon... monsieur veut rire. Monsieur sait mieux que moi, ce que je veux dire avec cette première. (▲ paît.) Je le flatte, je le traite comme un Parisien.