LE MARQUIS ERNEST
Le théâtre représente rentiohAmkre d’imriohe appartement. — An lerer du ridean,’ Hector assis snr noe banquette de Telonrs, près de la porte de l’appartement, ob~ serre aree une irritation eroissante la sonnette qui tinte presqae sans discontiaaer.
SCÈNE I
HECTOR, seul.
Quand cela finira-t-il ?... C’est insensé !... Et voilà la musique à laquelle je suis condamné depuis une heure... mol... moi qui raffole des maîtres nouveaux, et qui ai la tête encore toute vibrante de fraîches mélodies : n chante.
Hél bonjour, monsieur le mari... Qa’ayez-TOTis fait de votre femme ?,.. Il esquisse le reste de l’air.
En dépit des cabales, le monsieur qui a fait cette chose* là, a vraiment une lyre... comme disait ce reporter qui m’a été présenté l’autre jour au bal des gens de maison, (oo tonne.) Emest ost fou, et pas d’aujourd’hui, exemple : (on