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LE CLOWN 29 Me sert à moi, le clown rôveur, de mandoline, Pour ma chanson sans mots, sans notes, mais câline. C’est alors que je plane — et je reprends mon rang De descendant direct da père orang-outang. D’être son petit-fils je sens si peu la honte Que vers ce grand aïeul fièrement je remonte. Loin de répudier sa haute parenté, Je le prends pour modèle, et c’est ma vanité. Qu’on dise quand, rasé, ganté de frais, le linge Eclatant de hlancheur, je parais : « Tiens, un singe I » FIN DU CLOWN. m. t.