INFANTERIE ET GAVàLEElE 23
Simon fait de ▼aini efforts pou plier le jarret.) Oh 1 Oh 1 tU n’aS plUS tOD jarret de vingt ans, mon camarade. Mathias ports un coup dana le vide. Ba ferraillant ik tonnitat et chaDgent de côté.
SIMON.
Ta vue baisse, mon vieux ! tu veux tuer les mouches, comme si nous n’étions pas en hiver, (se frappant le front à ion tour et rompant brasqnement la garde.) ÂllOUS, bOUl j’ai OUbiié de Signer mon testament.
MATHIAS.
Tiens ! moi aussi !
lia reprennent les testamenta déposés snr la table en se trompant de eété. SIMON) lisant areo poine.
Qu’est-ce que j’ai griffonné là ? MATHIAS, de mémo.
Mais ça n’est pas mon écriture I SIMON, déchiffrant le testament de Mathias. « Si je meurs je donne toute ma fortune... à mon vieil » ami Simon et à sa petite-ûlle... » MATHIAS, lisant le testament de Simon. « Si je succombe, je lègue ma petite-âlle à mon vieil ami » Mathias... » (smn et dégrisé.) Il iho lègue sa petite-fille t SIMON, de même. *
Gomme ça, si je l’avais tué, il me laissait son bien... MATHIAS, pleurant.
Si je l’avais descendu, il me léguait sa petite Marie I Ahl c’est gentil, ça... Brâve Simon, va ! SIMON, de même.
Brave Mathias ! (une panse et des sanglots.) Daus mes bras, mon ami, dans mes bras I (lU se jettent dans les bras l’an de l’antre et pleurent eosemble. — Se monehant.) VoyOUSl nO plOUTO dOUC paS COmme Ça, sargent >