LE COMMENCEMENT DE LA FIN 24» BAPTISTE. Oui, monsiearl OONTRÂN. Parbleu 1... toujours Patinais !... Aussi pourquoi m’a-t*on mis au collège à Henri IV, je ne l’aurais pas connu et tout eela ne serait pas arrivé... Baptiste, prends mon sac de voyage, (SaptUte le prend dans on plaeard.) mOtS-y troiS ChemlseS, un gilet de flanelle, des mouchoirs, des crayates, tout ce que tu pourras y fourrer. (ll oarre ses tiroirs, en tire des objets d« toilette qn’u jette à Baptiste.) Empile... empile... Je mo sauve d’ici ; je vais m’installer à ThôteL BAPnSTI* Où cela, monsieur ? OONTRAN. Je ne le dirai à personne... Patinais n’atirait qu’à l’apprendre. .. Tu ne me verras que le jour de mon mariage à réglise... (Lni donnant de l’argent*) Voici dO i’argeUt... tU lOS foraS manger et tu les mettras à la porte. BÂPTISTB, montrant ses yaui. Si monsieur Patinais le veut bien I GONTRAN, qni a fini sa toilette, metUat Mn ehapean et prenant le ho qne Baptiste loi a préparé. Moi, je cours chez ma belle-mère et de là à la mairie... puis à rhôtel... à Vhôtel meublé... Tu diras à Patinais que je suis parti... à Gonstantinople comme reporter du Figaro... (On entend one yoitnre s’arrêter dans la rne.) Uue VOitUTO 1 BÂPTISTB, qoi a regardé par la feaétN» Une grosse mère en descend. GONTRAN. Une grosse mère ?... BAPTISTB. Une vraie caricature I
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