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LE COMMENCEMENT DE LA FHV 235

ddlDOl..* (n oayre la eommode-tnilAttd m Toit dans U glaee et B’aperçoit qu’A a u jrae ronge.) Qae diable ai-jelà ?... (n m débarboniBe.) Ça tient !... ça ne s’en va pas... mais c’est nn conp que j’ai recul... Eh bien ! me voilà présestable... Comment aî-je fait mon compte ?... Je ne me sni» batta avec personne... Ah ! mes sonvenirs sont on peu brouillés... je ne sais pas comment je suis rentré ici... et ce coup ? Me voilà gentil pour aller me présenter devant monsieur le maire t.. . Quel prétexte donner ? ... Mais d’où vient que... ? (n l’appnie sur le ^éndon.) Ah ! j’y suis... oui, c’est bien ceia... Quand je suis rentré, — j’étais un peu... étourdi. — J’ai voulu me coucher, et après avoir, non sans de grandes difficultés, allumé ma bougie, j’ai regardé mon lit... (Mootnot M» m.) Le gaillard exécutait autour de ma chambre une valse désordonnée... alors, assis sur ce guéridon, j’ai attendu... j’ai attendu qu’il passe devant moî^ et... je me suis précipité dessus... je me serai heurté contre la muraille... Lefîiit est que j’étais dans un joli étatl... Que voulez-vous, l’enteirement était si gail... CHntonoaot.

Versez, garçons, venez,

Versez, versez tant qu’on vous dise assez t Et puis c^est la première fois... ou plutôt la dernière... que cela m’arrive... aussi fort ! Que diraient mes ancêtres si... Ah bah ! j’en sais un qui en serait charmé... mon trisaïeul Contran de Vieuxneuf, le capitaine des Gardes, dont j’ai le portrait dans mon salon... (loant.) il a le nez écarlate !... Je n’en suis pas là, heureusement... mais, c’est ma joue cramoisie. .< on dirait vraiment que j’ai reçu un soufflet... (se mettant de k pondre de rb snr le Tlsage.) Ma foi, COla UO SC VOit plus... (ÀTee indignation.) Jc mo maquiUc à préscntl... G’est bien fait, monsieur !... c’est le châtiment de votre indigne conduite. .. et madame veuve du Rasoir, votre future bellemère, aura raison de vous faire souffrir pendant toute votre existence. — Non, unr instant ! ~ pendant toute son exis-