234 LE COMMENCEMENT DE LA FIN
Ah ! j’y vois... (sanuntdaUt.) Nom d*un petit bonhomme !... onze heures ! il est onze heures !... Me voilà gentil !... (Aiiaai à k chamiDée et eonfnltaBt àê BMman U pendule.) Non, J’avais mal YU... il n’est que diK heurasi... (srftpenefaotfnnieMiuèiHé.) Comment je me suis couché tout habillé !... Ah ! Contran, mon ami» quelle existence as-tu menée hier ?... C’est égal, je n’ai que le temps... il faut qu’à onze heures, j’aille chercher ma future pour la conduire à la mairie... car aujourd’hui, à midi, j*épouse une petite blonde adorable... des yeux bleus comme l’azur... peut-être un peu boulotte... mais, que voulez-vous, j’aime encore mieux cela que si... (pendant ee temps, u retire 80D ha. hkt, ion gOet, M erarate, et se dispose à faire sa toilette.) Enfin ! elle SCrâit complète, la dière enfant, si elle n’avait pa» sa mère, ma future belle-mère... — la belle-mère, ce philloxera des ménages. — (n tire dn linge d’nn tiroir de la eommode-toilette.) Et CClle-là, comme animal nuisible !... d’une exigence !. .. Ah ! sL elle savait ce que j’ai fait hier au soir !... la veille de mon mariagel. .. car je me marie... c’est biea décidé... j.e soia plus pressé que celui-là qui disait :
A cinquante ans, on est bien aise enfin
De vivre on peu tranquille... Il faut faire une fin. Bier, donc, c’était le commencement de la fin de ma vie de garçon... et, sur le conseil de Patinais, un vieux copain... j’avais invité tous mes camarades et nos... connaissances.,. avenir l’enterrer... — pas Patinais,... ma vie de garçon. — Ça s’est passé chez Brébant... Vous dire ce qu’on a débité d’extravagances !... car, je dois Ta vouer, comme le bonhomme de Regnard :
Pour convive, je suis d*ane assez bonne étoffé, Suivant de Démocrite et garçon philosophe. Il faudra changer, maintenant !... C’est dit... Contran de Yieuxneuf fait une fin !... ce qu’il va laisser de veuves dsms le monde... galant !... Je ne suis pas un vilain garçon, et