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■ONSTEJOR CAMBREFORT 20» MADINIER. Et TOUS, tâcbez donc, maître Cambrefort, de parler une fois, dans votre vie, comme les gens bien élevés ! Sans dcate» ce n’est pas votre faute, si l’éducation première... GABfBREFORT. Madinier... restez-en là I Je t’aime, tu le sais... mais dès qae l’on toucbe à mes souvenirs d’enfance, je suis un baril de poudre. MADINIER, eontent de iw mou En effet, vous sautez facilement. CAMBREFORT, il m^sm rattitode pr«par«tob6 àrtBTW twa loafllet* Madinier... tu vas trop loin. MADINIER. Ebbien quoil vous voyez qu’on peut ôtre.unbomme d’une bravoure ordinaire, et vous défier. CAMBREFORT. Ta me dis : vous,,, soit... mais moi je veux te tutoyer une dernière fois pour te dire : Madinier, tu n’es qu’une vieille b... LÉON, riotarrompant. Monsieur 1 vous insultez mon oncle cbez luil MADINIER. Oui, noble cœur, tu l’as bien dit « cbez moi » car J’y viendrai demeurer. LÉON, à part. Ahl bien non, alors... il faut qu’ils se battent. GABfBREFORT, à Léon. Toua ; monsieur, du moins, vous êtes dans votre bon ••ns, ne pourriez-vous décider entre nous ?