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MONSIEUR CAMBREFORT

LÉON, à part. Ah ! mais non... (Hant.) et votre nièce Hathilde qui l’aime autant que vous-même. MADINIER. Je démasquerai le traître. LÉON. Il dira que vous vous battez par procuration. MADINIER. On ne le croira pas. LÉON, à part. Je me suis mis dedans... c’est à recommencer... (oa wone, Léon prêta roreiUe.) Âhl j’entonds qu’ou est allé ouvrir ; Pierre est rentré. On entend le bruit d’une légère discussion près de la porte, discussion dominée par layoixdeCambrefortqui dittrès-haut : « C’est inutile de m’annoncar Totre maître m’attend ; place, jeune honune. ■ SCÈNE V LÉON, MADINIER, CAHBREFORT , entnct e. «mp d. Teirt «t allant droit à If adinier. GASIBREFORT. Madinier, tu te rouilles... tu cribles de tricberies le noble jeu des armes... tu ne devrais plus être ici. MADINIER, lui tournant le dos. L’individu qui me parle semble ignorer que la journée n’est pas encore finie. GAMBREFORT. MadiDier, je te trouve métaphysique... tâche donc, un^ fois dans ta vio, d’être clair.