4tO YALENTIN LB COMTE. Vous Texilez ?.... (atm roproehe.) Gomme iToî... dans cet ap« parlement... là-bas... la Sibérie... tandis qu’ici... Il montr» da regard U pocit ds droite qui mèDe aux eppartemeots de la comtesse. LA GOUTESSE. Ici ? LE GOIITE. Ici, c’est Venise, c’est Florence, c’est Grenade, c’est ce que vous voudrez, mais c’est le soleil I... u tend la main pour prendre U main de la comtesse. LA GOITTESSE, reUrant sa mab. Allez donc chez madame de Neirens. L’heure de la répétition doit être venue, et il ne faut pas faire attendre madame de Brives. Bonjour, Frontin ! LE GOlfTE, souriant. Le nom ne me choque pas. Et il me ferait tant plaisir, si vous vouliez être... LA GOIITESSB. Si je voulais être ? Ll GOlfTB. MarUm I LA COMTESSE. G’est un moi qu’il faut garder pour madame de Brives. Adieu I LE GOMTE. Méchante 1 (Regeniuitsa montre.) Vous avcz raisou, au fait. On m’attend. Et c’est la répétition générale ! En costume !... n sort après aroir salué la comtesse qni reste senle et regarde son livre ea boebaot la téta.
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