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LES LILiJ3 BLANCS %i êtes habitué à faire des victimes, que ceci vous serve de leçon ; ne recommencez pas, sinon, tout hussard que vous êtes, nous allons vous tirer les oreilles... GÉGILB. Que feras-tu ? JULIA. Je vais lui écrire que s’il ne cesse pas les ridicules préve* nances dont il m’accable, je communique sa lettre à mon mari. GÉGILB. Tu ferais cela ? Je le crois parbleu bien ; il est indispensable que je prenne ma revanche, (s’approchant de u cheminte.) Quaut à sa déclaration, traitons-la comme elle le mérite. Bile U brûle. cAcUiB, debout, pièe d’aï». Garde-moi le secret. JXJLIA. Je te fais la même prière... surtout, ne songe plus au comte de Ferry. Je te le promets... j’ai hâte d’oublier ce moment de faiblesse. (Bruit lointain dn lonnette.) N’aS-tU paS eUteudu SOnUCr ? lULIA. Si fait. GiGILB. C’est Gaston qui rentre. Je distingue le craquement de ses DOttes. IULIÀ. Je me saute. KU» Mort VM» k porta ai diMlt»