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derrière de Pascal. C’est la faute des sots et des pervers.
Un écrivain dont les idées sont faites et arrêtées, circule toujours entre la crainte de n’être pas assez compris et celle de l’être trop.
Tout peut se dire, répète-t-on sur la foi les uns des autres ; la manière fait tout passer. C’est vraiment une belle faculté que de pouvoir hasarder en tremblant une vérité honteuse, dépouillée de ce qui fait son éclat et sa force, comprise seulement des hommes qui n’en ont pas besoin, et inattaquable par le pouvoir, parcequ’elle est hors de la portée de la sottise !