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courans à différentes époques, seraient perpétuellement consultés et feraient autorité.
M. votre fils vient nous voir quelquefois, et je crois que notre climat convient fort à sa santé. Dans l’impossibilité où je suis de disposer à mon gré de mon temps et de faire de grandes courses pour lui faire voir Paris, je suis heureux de pouvoir me faire remplacer par mon fils cadet, qui a dans ce moment quelque loisir. Le vôtre fait les plus grands efforts pour se rendre maître de notre langue ; je crois que c’est avec succès, et qu’il commence à pouvoir suivre le babil de nos sociétés.
Agréez, mon cher monsieur, l’assurance, etc.
J.-B. Say.