Page:Say - Lettres à M. Malthus sur l’économie politique et la stagnation du commerce.djvu/189

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
(oui, parce qu’elle empêche de produire), 62. Se contredit en regardant comme nécessaires les consommateurs improductifs, 64. Croit à tort qu’il faut que l’on, produise une valeur supérieure aux frais de production, 69. Voit avec terreur l’accroissement des capitaux, 70. Ne veut pas qu’on épargne, 74, 78 et 85. Compare la multiplication des capitaux à la multiplication des enfans (note), 86. Ne veut pas qu’on rembourse la dette publique (note), 109. N’attribue à l’invention des machines d’autre avantage que de favoriser le débit des produits, 138. Sa définition des richesses critiquée, 154.
Manufacturier (celui qui fait des entreprises de fabrication), comment est producteur, 27. Mis en opposition avec le cultivateur, 49. Pourquoi son revenu est augmenté par l’introduction des machines, en le supposant même réduit par l’effet de la concurrence, 135.
Marchandise (produit qu’on achète pour le revendre) ; voyez Produit.
Matière, n’est rien en économie politique, 44.
Matières premières, n’ont de valeur que par les services productifs qui les ont procurées (note), 68.
Militaires, n’augmentent pas les débauchés par leurs consommations, 66.
Monnaie, n’est qu’un agent passager servant à échanger ce que l’on vend contre ce qu’on achète, 3 et 29.
Moulins à blé ; avantage qui est résulté de leur emploi pour les consommateurs, 136.
N.
Nations, peuvent acheter tout ce qu’elles produisent, 52. Mais ne peuvent pas produire tout ce qu’elles veulent.