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y2 LE FEDANT TOVE, FLEVRY. Vous auez bon courage, mais les jambes vous faiîl lent. GAREAV. Ma foy voire » Auffi bian n’en vclay-jepus. l’aime bian mieux eune bonne groûc Mainagere qui vous trauaille defesdix doits, que non pas de ces Madames de Paris qui fe fefont courtifer desCourtifans. Vous verrais ces calouriaux tant que le ioureftlong, leur dire, Mon cœur, Mamouri Par cy, Parla ; le le veux bian , Le veux -tu bian ? Et pis c’eft à fe fabouler , à (è {>atiner, à plaquer les mains au commencement fur es ioues, pis kir le cou, pis fur les tripes, pis fur le brinchét, pis encore pus pas , & ainfi le vitfe gMïè. Stanpendant moy qui neveux pas qu’on mefaflèdes Trogedies , fi i’auoiias trotraé queuque Ribaut licher le moruiau à ma femme, comme cet affront ià frape bianaucœur,peut-eftre que dans ledekfpoirie m cmporteroiias a jeter Ion chapiau par les freneftres , pis ce feret du (caudale i Tigué queuque gniais. GRANGER. -O cfperances rutiles du concept des humains ! De mefmc les Chats tune flates que pour égratigner, Fortune malicieufe •