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sans que jamais on ait apporté une preuve qui en soit une à l’appui de cette tradition[1]. Pour l’admettre, il faudrait supposer un bien grand nombre de complicités, depuis celle du docteur Louis qui participa à l’autopsie, jusqu’à celle de l’abbé Martin de Noirlieu qui se serait prêté à une véritable comédie, vignette|
en laissant raconter par L’Ami de la Religion, une scène dans laquelle
- ↑ Jusqu’ici les preuves sont les suivantes : 1° Mme Krandidier, gouvernante des enfants Praslin, qui aurait été reconnaitre le corps, l’aurait trouvé défigure et ratatiné. (On ne voit nulle paît le nom de Mme Frandidier parmi les gouvernantes, et les médecins trouvent le cadavre superbe) ; 2° Mme de Proisy, dame d’honneur de la reine Marie-Amélie, a vu Praslin en Belgique un an après le meurtre. (Mme de Proisy ne figure pas parmi les dames d’honneur de Marie-Amélie ; 3° le cocher Paulmier, au service des Beauveau en 1847, rencontre Praslin boulevard Montmartre en 1861, quatorze ans plus tard. (Le comte de Bondy, d’après Victor Hugo, est le véritable ménechme de Praslin_ ; 1° il a vécu à Guernesey, disent Robinet de Cléry et le baron Lumbroso, qui se bornent à l’attestation du rédacteur, en chef de la Gazette o/ficiel/c de Guernesey ; 5° les contrats de mariage des filles porteraient obligation de faire une pension à personne inconnue habitant l’Angleterre (le texte des contrats est à publier et le chiffre réel de la pension à indiquer).