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CHAPITRE X.

Les confidences.

Les prescriptions d’un habile docteur, les soins éclairés d’Olympe, que ses connaissances pratiques en médecine rendaient une excellente garde-malade, avaient triomphé presque entièrement de la maladie de poitrine dont Clarisse était menacée. L’air pur et la vie paisible de la campagne devaient achever une guérison si bien commencée. Déjà, depuis près d’une semaine, mademoiselle de Selbas n’occupait plus l’étable que la nuit.