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CHAPITRE IX.

Les amies de pension.

Les nombreuses occupations d’Olympe ne l’avaient pas empêchée d’entretenir une correspondance à Paris. Elle écrivait régulièrement à son institutrice et aux deux chères amies qu’elle avait laissées à la pension. À chaque lettre, Clarisse courait chez Amélie, et lui disait :

— Concevez-vous, cette pauvre Olympe ne fait de musique qu’avec son père.