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ment d’autres relations. Les invitations se multiplièrent. Le comte se laissait entraîner à ces parties de plaisir, madame d’Iserlot les acceptait toutes quand elle ne les provoquait pas, la seule Olympe se tenait sur la réserve. Ce n’était pas par sauvagerie ni par dédain qu’elle agissait ainsi : l’élève de mademoiselle Desrosiers figurait volontiers dans un bal champêtre ; mais mademoiselle de Saint-Julien avait accepté la tâche difficile de gérer ou plutôt de créer une fortune rurale, et son tuteur, prévoyant qu’elle pourrait être en- traînée hors du cercle de ses occupations, lui avait fait promettre de ne rien changer à la distribution de ses heures.

Mon enfant, lui avait-il dit, donnez aux plaisirs tous vos momens perdus, je ne m’y oppose pas, mais n’en perdez pas pour eux. En agissant ainsi, vous vous amuserez mieux, et serez moins vite blasée sur tout ce qu’on nomme divertissement.

En effet, Olympe était moins sujette aux désappointemens que ne le sont souvent les jeunes filles. On ne la voyait point, rassasiée