cc. Le ton de la mineur, ne comportant aucune altération constitutive, est le modèle des tons mineurs.
dd. Les tons mineurs et les altérations constitutives se succèdent et progressent comme cela a lieu pour les tons majeurs : de quinte en quinte justes, en montant, pour les tons par dièses ; en descendant, pour les tons par bémols.
EXERCICES.
Qu’est-ce que le MODE ? — A.
Combien y a-t-il de MODES ? — B.
Comment les désigne-t-on ? — C.
Quel est le principe du MODE MAJEUR ? — D.
Quelle est la situation des demi-tons dans le mode majeur ? — E.
Quel est le principe du MODE MINEUR ? — F.
Quel est, dans les accords constitutifs du mode, l’intervalle
caractéristique du MAJEUR et du MINEUR ? — G.
Comment nomme-t-on les notes caractéristiques du mode ? — H.
Quel rang les notes modales occupent-elles dans la gamme ? — I.
Le 7e degré n’est pas mis habituellement au nombre des
NOTES MODALES pourquoi cela ? — J.
Quel est le résultat de l’altération ascendante appliquée au
7e degré de la gamme mineure ? — K.
Comment nomme-t-on le 7e degré quand il est placé à
un demi-ton de la tonique ? — L.
Que signifie cette expression de NOTE SENSIBLE ? — M.
Pourquoi introduit-on artificiellement une note sensible dans
la gamme mineure ? — N.
L’altération qui produit la note sensible dans le mode mineur
est-elle permanente ou accidentelle ? — O.
Quel nom donne-t-on au 7e degré de la gamme mineure, quand il
est à un ton de la tonique (ou 8e degré) ? — P.
Combien la gamme mineure, avec note sensible, présente-t-elle
de demi-tons ? où sont-ils placés ? — Q.