Page:Sauvage - Le vallon, poèmes,1913.djvu/38

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
26
le vallon


XIV


Ne cherche pas de tes mains
À raccrocher la lumière,
Personne ne te retient
Et cette heure est la dernière.
Ta mère est morte elle aussi.
Te revois-tu tout petit ?
Que la pelouse était verte
Sous les fenêtres ouvertes.