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le vallon
LXV
Que serais-je, ô triste pensée,
Sans ton aile grise à mon dos,
Dont je me sens plus caressée
Que d’un voluptueux manteau ?
Que serais-je, ô triste pensée,
Sans ton aile grise à mon dos,
Dont je me sens plus caressée
Que d’un voluptueux manteau ?