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��EXEMPLES DU PHONEME A DANS LE GRECO-ITALIQOE.
��Xaiôç
�laevus.
�(Xaîoi
�saevus^ (?).
�(jKaiôç
�scaevus.
�dor. ai
�osq. svai.
��Dans la diphtongue: aï, aïôu) aestas, aestus.
ottiJûv aevum.^
aîact (aïK-î/a) aequus. {ba{if)r\p lêvir.)
«eau»); il rapporte à la même racine Meoadinoi, ff] 'Ania etc. La question est seulement de savoir si nous avons affaire à ap (d'où amnis) ou à ak^ (dans aqua); mais dans l'un et l'autre cas le latin montre l'a. — 5. L'« est long: gr. éTtr|€Tavôç, skw àyus. — 6. V. Savelsberg, fi". Z. XVI 61. L'épel adïoi rend le rapprochement douteux, — 7. Encore ici on peut supposer l'a long; on arriverait peut-être à expliquer de la sorte cJ pour ï\\.
��au. au g: auT-n, auK-aiç
1 ans', auujç; àéXioç
2 au s: èS-au(T-Tr|p g au: Y«û-poç, yH-^^^ kaup: KàîT-riXoç ^ 2) au: TraO-uu stau: (Tiau-pôç
1. Fick, Beitrâge de Bezzenherger II 187. — 2. Vu est tombé en grec, comme dans kXôviç et d'autres formes. Osthoff, Forschtongen I 145, Misteli, K. Z. XIX 399.
��augere, aug-ustus. aur-ora; Aus-elius. C. h-aur-io, h-aus-tus^ (?). gaudere, gav-isus. C. caup-o, cop-a. C. pau-cus, pauper. in-stau-rare. C.
��aupa aura (emprunté?).
auie autem (?).
èvi-auTÔç autumnus (?). daûvoV ôr|-
pîov Hes. Faunu^ (?).
��a est suivi de V.
��àîTO-Xau-uu
à(/")-îuj
Tra(i )-îuu
q)aû-oç, cpa(/)eivôç
��dpaûu) fraus.
KauXôç caulis.
cfavx^àç saucius.
xaûpoç taurus.
Lav-erna, lav-erniones. C. av-eo, av-idus (?). C. pav-io. favilla. C.
��2. La racine contient une liquide ou une nasale non initiale.^ Dans un certain nombre d'exemples (nous en avons placé quelques-uns entre crochets) l'a représente certainement autre chose que A; c'est un a anaptyctique, en rapport avec les phénomènes étudiés au chapitre VI.
��1. Les couples aqpdXXu) — fallo et àXcpdvw — labo)- ne sont pas insérés dans cette liste, parce qu'ils prêtent matière à discussion.
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