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reguliènuiient rendu en grec par une brève, qui est en syllabe ou- verte a, en syllabe fermée tantôt a. tantôt e. Ainsi avant tout 'YpKavoi, si Varkoha semblait encore avoir une importance pour -r|vôç. Mnis de même Aapeîoç (Dârouavahus), 'ArpoTrârriç {Atarpûta) , MiGpabotTiiç {MiQyadâtn), BaYÎCTTavov ôpoç [Bagastûnam), TTaaapTotbai raisiyaxnvâdâ), fdvbapoi {Gandârâ), 'AT^âiava {Hagmatâna), (TTépffriÇ = Pârsa, etc.), ainsi de suite, la toute régulière chose pour le grec vis-à-vis de Va perse étant de répondre par une inflexible brève à cet (1, comme dans 'YpKttvoî, et un suffixe eomme celui de Aa)iiipaK- nvoî ne pouvant être, par conséquent, en aucun cas tiré du perse,
4" Il reste peut-être le cas d' Adarhaijân vis-à-vis d'^AipoTraTiivri. Pour deux raisons, contrairement à ce qu'on croirait, ce cas n'a aucune signification: 1^ parce que la forme persane ne répond pas à 'AipOTratrivri, et repose sur Atarpâtakân (J. Darmesteter, Etudes iritniemtes, 1, 267); 2° par la raison historique que l'Atropatène, donnée, au partage de Tempire d'Alexandre, au Perse Atropatès, pouvait parfaitement avoir reçu un nom grec, et que peut-être ainsi, bien loin d'établir quelque chose sur le perse achéménide, cette terminaison nous reviendrait, ])a]' le persan, des Macédoniens, hors de toute donnée orientale/
4. IjC suffixe n'étant pas perse, ne pouvant davantage être d'origine grecque, il ne reste qu'à en venir à la supposition dès l'abord la ]ilus naturelle, à savoir que les seuls Hellènes qui en font usage dans leur propre nom, Lampsacènes, Pergamènes, etc., l'avaient trouvé dans la région même qu'ils habitent, et que toute la fortune ultérieure de cette terminaison n'est due qu'aux Grecs, après que ceux-ci l'eussent empruntée à deux ou trois dialectes (tbsours d'Asie Mineure. C est aussi par emprunt absolument po- pulaire aux dialectes (jui se parlaient à leurs portes que les cités grecques d'Italie ont admis -îvoç; une influence romaine est hors de ([uestion, tous les noms comme MexaTrovTÎvoç étant connus dans Hérodote ou encore antérieurement par les inscriptions d'Olyrapie,
��1. Nous laissons expressément de côté YAtryaiiem rarjô de l'Avestn, d'oii le nom actuel de VÉrthi, dans son rapport avec le nom j^rrec "Apiavr). Incon- testablement c'est là seulement que percerait un suffixe iranien en -ihia (la (juanlilé zende -àna n'étant jx'-'^ un obstacle à supposer ('uia), mais l'isolement du cas conseillant d'attendre encore bien longtemps, contrairement à la précijii- tation de i)lusieurs, avant de supposer quApiâvr| (qui est exactement la même cliose que AauH/OKr|V)î et BaKTpiôvri) ait i|uelquo rlio'^e ;i voir avec le nom zen<l.
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