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fort ivceiit comme tel, étant (nicore, dans nombre do textes, du genre opposé.^
11 reste à recueillir les divers débris de fiexion consonantique qui peuvent compléter notre information, en permettant de mieux peser les chances générales relatives au nom. plur. et au gén. sing.
Gén. plur. desimtu 123, n. [Analogique x^rietalhi 8:5,20 (duel). 129,27. 13i,2. 149,5.] wiefipatu 54,t5. 105,u. (en outre duntn. kriUii). iiiicii 40,24. 151, u.u. zweru 39,i.s. 48,32. 77,i2. vioteru 38,.i2. 90,ig. akmenn 114,!i. 140.8. 140,2i. inmdenu 60,i8. 66,2. 95,2«. — En revanche: rlnhlenn 94,2i. nkmenm 17,i3. 72,8. 79,)'.i. 131,30. [priezafciu 96,25. 104,4 etc.]
Nom. sg. deiims 8,17. 138,b. phonétiquement issu de *dejlmfs.^ U'ieJ.ipafs (({ui est seul employé par Sz.) devrait faire de même «vëJJpasTi.
Dat. sg. Wlejipat 7 fois (les ex. chez Garbe, p. XLI). — En même temps Wii'JipaM 66,0. 84,12 etc. Wiejipatip 23,is<. Ik piiimeni. glosé inuklry, 117,i.
OBS. — Que Wiefipati dans Sz. doive ou non se lire simplement vëJSpatji par % long (comme smerty. kriksczoni/*), il est certain que Wic/Jpaf, pour sa part, suppose une autre forme: rë,]pafT, qui, d'où qu'elle provienne, n'api);irtient pa<. elle, à la déclinaison en -/-.
Pour obtenir quelques idées plus précises à l'endroit de Wieftpof. il est bon toutefois de reprendre les choses de plus haut:
1. Dans le gérondif cum dativo sekanti-sèkanf, sekiisl-sèkus; de même dans mani-màn, tavi-tdr, mvi-sâv, Yi peut en lui-même, comme tout /"final, représenter soit primitif -ï, soit prim. -ë. -ï ou -m, abrégés par la loi de Leskien. 2. Gram-
��1. C'est ce dernier genre, féminin — , qu'il faut revendiquer en efïet comme primaire pour imônés, contrairement à l'idée naturelle d'après laquelle le mot serait le pluriel de imû (Forma Chrikst, 42,5. 42, sa). Le mot tmônès a dû reposer, dès le principe, sur un dérivé ènion-id-, vu qu'il n'y a pas d'exemple du gén. plur. 'émonu» même dans les textes les plus conservateurs du gén. plur. consonantique, disant par ex. ausu, zansu, duru. Ugotvi. Tout prétexte à lui reconnaître originairement le genre masculin est donc enlevé. En même temps, concluons pour ce qui concerne notre sujet en général que imonés ne doit donc pas être mis au nombre des mots chez lesquels une finale -es peut être soup- çonnée. — Reste à décider ce que représente la forme èmonis. sur la décl. en -i-, répandue dans le N. E. du territoire.
2. L'idée que les exemples cçmme aknienu seraient de simples graphies négligées pour nkmeniu est complètement exclue quand il s'agit de Szyrwid. Ainsi on n'a jamais -nu pour un thème en -ni- ou en -né- (finagenu 11, 12 ne vient pas de smàgenés Kursch, mais de smagenos, voir 125, 12. ir..). — Notons en passant l'absence de gén. plur. consonantique pour éirdis {éirdiîn 09,*), debefis (dehefiu 151, «), menuo {menefin 49,i8), malgré instr. luenefim 51. 22.). — L-; nom. pi. de èuwn, èwei'u est simplement en -is (135,24. 151,24).
3. La même forme (est-ce faute pour desinif?) aj)paratt 138,7 comme ofTu- sittif. Ordinairement deMmti (63, u etc.).
i. Nous admettons, comme le fait Brugmann, Grandi:, II, 604, que c'est ainsi qu'il faut lire le datif smerfi etc. Quel(|ues graphies pourraient faire crf)ire à smcrfïj. L'essentiel est cpic 1/ do ce dalif-l;i \k sk syncope j-as.
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