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��SUR UNE CLASSE DE VERBES LATINS EN -00.
��lion de Lucilius, dans l'Epit. de Festus, p. 70 ^ Nous admettons donc que, là où une trace de. la 4® conj. apparaît, soit dans un monument ancien de la langue, soit dans une partie de la flexion (ctipivi à côté de cupëi'e), il faut tenir le verbe pour un intrus dans la 3® conjug. et le replacer par la pensée dans la 4*. En partant de ce principe nous obtenons le tableau suivant, qui se compose 1^ de tous les verbes en -io de la 3® conjug. (y compris ceux qui faisaient primitivement partie de la 4* ^) ; 2 de ceux des verbes de la 4® conjug. qui ont leur correspondant en grec ou en sanscrit:
��3® Conjugaison. capio facio
jacio = iàffcruj lacio
�4* Conjugaison. crocio cp. KpiûZo) cupio =^ hipjati farcio = cppdO'O'ai suf-fio = 9uîu}
�quatio
rapio
epecio = paçjati
patior
�fodio
f ugio (= cpvluj ?)
(?) fulcio = (puXdcTCTuj
glocio = KXubaauj
gradior = grdhiaii
haurio ==^ (à(p-)ù(Jcruu
� �morior = nirijâte
�•
�mugio = }xvl(x)
orior, cp. ôpéovTO. Ciirtius, p. 596
ordior = j-dhjnte
� �pario
� �[pavio = TTaîuj]
� �pinsio = "iTTÎcrcruj
� �potior = paijate rugio = puCuL) salio = d\\o)Liai
�'
�sapio
venio = Paivuu .^
��1. Dans tout ceci, il ne s'agit pas naturellement delà coexistence de doux formes comme veno (dans evenat) et venio, ou grado {praegradat) et gradior. Nous ne parlons que des doubles formes en ta.
2. Les références se trouvent chez Neue, Lot. Formenl., IP, 415.
3. Toutes ces étymologies sont anciennes, sauf celle de haurio que j'ai cherché ailleurs à réunir à àqpûaauj: mais tout en maintenant ce rapprochement, je me demande maintenant s'il ne faut pas diviser à-qpûaauj. — Sur le très incertain (pùZuj V. Curtius, Verhum, I, 321. — Mrijate a gardé l'ancienne
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