338 DE l'emploi du génitif absolu «n sanscrit.
préférable d'en faire un génitif absolu, portant sur le temps de l'action (yâvad abhibhûyatê Vaîdêhî) ; et en conséquence na tâvat, au lieu de signifier pas en- core, répond au yâvat virtuellement contenu dans le génitif absolu V
496. — (?) Râm.V63, 25. Exemple qui doit peut-être s'inter- préter comme ceux dont il a été question à l'article praviçaU (p. 306).
prahystasya tu Ràmasya Laksmanasya ca dhîmatah idairi Dadhimuhham vâkyaih Sugrîvô muditô ^bramt:
- prîtô ^smi, ma bhûn manyus tê, etc.»
��d'ajouter, vu le sujet de notre travail, qu'elle a été bien près d'engendrer un troisième cas absolu sanscrit. Voyez à ce point de vue: Râm. II 12, 100. 11 50, 32. II 64, 17. Kath. 55,213. 60,52. 71,273. 101,30. Mark. Pur. 27,16. 49, 9. 84, 17. 108, 2. Bhàg. Pur. IV 11, 15. Ind. Spr. n« 427 (en prenant pour points de comparaison dans les locatifs absolus MBh. III 529 = Mûrk. Pur. 69, 35. Hitôp. II 35. Prabôdhaéandrôdaya Brockh. p. 74: nâryâm jitâyâm).
1. Cf. Bhâg. Pur. V 8, 1: tayâ pêpîyatnâna udakê, tavad êva . . mrgapatêr unnâdah . . udapatat.
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