GREC KT ITALIQUE.
105
l'équivalent de Vo de Ppiûvai, PpOJiaa (sur rorri v. Corssen, Beiir. z. it. Spr. 237). Nous ferons la même remarque relativement à storea, torus en regard du OTop hellénique. — 2. M. Fick (11* 145) place porro et irôpouj sous un primitif porsôt (mieux: porsôd), et sépare irpôaauj (= •upoT//uj) de irôpoiu, irôppu). Bien que la distinction que veut établir Passow entre l'usage des deux formes ne paraisse pas se justifier, on peut dire en faveur de cette combinaison: 1° que la méta- tlièse d'un irpôaiu en uôpauj serait d'une espèce assez rare; 2" que dans -irôppui pour TTÔpauj il y aurait assimilation d'un a né de xy, ce qui n'est pas tout à fait dans l'ordre, bien qu'il s'agisse de a et non de aa, et qu'on puisse citer, même pour le dernier cas, certaines formes dialectales comme le lacon. xdppujv; 3" que porsôd lui-même s'explique fort bien comme amplification de l'adverbe skr. purâs, gr. udpoç irôpouj {porro): purds udpoç = KÔpori: ciras Kdpr\.
N'ont pas été mentionnés: poù\o|aai — volo dont la parenté est douteuse (v. chap. VI), et irpori auquel Corssen compare le lat. por- dans por-rigo, por-tendo etc. La position de la liquide décon- seille cette étymologie, malgré le crétois TToprî, et rien n'empêche de placer por- à côté du got. faur, grec, irapd.
Mots se rapportant aux tableaux a et b, mais qui contiennent un long:
fÙjKÙÇ
ocior. Ovum.
kqujZiu
1 crodo. \ crôcito.
[ibXévn
[pXuj|nôç
kXuûZ^uj
�MÎwa.] glômus.^ ^ glocio.
�liuJpoç mûpov liôpov
�morosus 1 môrum.
� � �tvôiï
�nos.
��1. pXuj^ôç" HJUJ|aôç Hes. Le niot se trouve dans un fragment de Galli- maque. glomus in sacris crustulum, cymbi figura, ex oleo coctum appellatur. Paul. Diac. 98 M. Si l'on tient compte de glomerare et de globus, on sera porté à comparer le sVv. gulma «bouquet de bois; troupe de soldats; tumeur». — Mentionnons aussi la désinence de l'impératif, lat. legi-tô, gr. Xcfé-TU).
��c. O termine la racine, ko: KÛJ-voç gnô: I-tvuj-v, tiTViû-C7kuu^
TVÛJ-pifioç do: ë-buj-Ka, boi-pov,
è-6ô-)Linv, bo-TÔç po: éol. TTUJ-vuj, àV-'TT^-Tiç,
7T0-TÔÇ, TTÔ-Ha
(?)r^: ^(i)-vvu)ni, ë-ppuj-aa
��cot)s, cù-neus (cf. càtus). gnO-sco, gnOtus, i-gnô-ro
(cf. gnâ-rus, nârrare). do-num, do-(t)s (cf. dà-ins, dà-re).
po-tus, po-culum, po-sca.
rohur.
Les exemples où l'on peut admettre avec le plus de confiance que Vo est un o sont: