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Rome, tu périras... On ne te verra plus

À ton char insolent traîner les rois vaincus,

T'enivrer de l'opprobre où ta rage les livre,

Et leur faire, à ce prix, payer l'affront de vivre...

Et vous à qui j'immole aujourd'hui mon bonheur,

Vengeance, liberté, remplissez tout mon cœur.


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