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MŒURS FIN DE SIÈCLE


» d’égard pour personne ; le plaisir qu’on se procure en chiant vous chatouille si fort que, sans égard au lieu où vous vous trouvez, vous chiez dans les places publiques, vous chiez devant la porte d’autrui, sans vous mettre en peine s’il le trouve bon ou non, et, marque que ce plaisir est pour le chieur moins honteux que pour ceux qui le voient chier, c’est en effet que la commodité et le plaisir ne sont que pour le chieur. J’espère qu’à présent vous vous dédirez d’avoir voulu mettre le chier en si mauvaise odeur, et que vous demeurerez d’accord qu’on aimerait autant ne point vivre que de ne point chier.

lui

C’est crânement dit ça, ou je ne m’y connais plus !

elle

Résumons-nous. Tu veux te marier. Et ta position ?